4.01.2011





     Nous voici désormais d'attaque pour affronter la folle Bangkok...

     Ville bourée d'ambivalences:
     L'extrême richesse et l'extrême pauvreté,
     La modernité et la tradition,
     La chaleur accablante et la fraîche climatisation,
     L'authenticité et le superflue,
     Le beau et le laid,
     L'or des temples et le gris de la pollution,
     La saleté des rues et l'asceptisation des Seven Eleven,
     Nos sentiments de dégoût et d'émerveillement,
     Nos craintes et nos impressions de sécurité.

     La capitale n'a pas de demie-mesure!











     CHINATOWN....
     Parcourir de longs et étroits couloirs où s'agglutinent des centaines de magasins, de
     gadgets et d'objets kitches en tout genre.
     Se sentir écrasée, enfermée dans un microcosme où il n'y a aucun répi.
     Des échoppes, des étales à tout va, de la nourriture accompagnée parfois d'odeur
     puante de poissons pourris... La chaleur.
     Mélange de dégoût et d'émerveillement.
     Pas moyen de s'échapper de cette extrême surcharge de tout...
     Même le ciel est surchargé par la pollution. Tout est gris.

     Les voir vivre dans la rue...manger, rire, dormir.

     Le plein d'émotions.
     Puis, se réfugier dans un KFC pour reprendre nos esprits après avoir parcouru
     les rues les plus sombres de cet endroit.
         

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